Few Canadian agriculturists have received such international acclaim as Dr. Kenneth F. Wells. For years, he represented this country in all parts of the world where negotiations involving animal health were conducted.
While serving as a veterinary officer in the Health of Animals branch during the 1940s, Dr. Wells was involved in stamping out a serious outbreak of hog cholera, and in organizing a national pullorum disease control program. Successful as his efforts in these areas proved to be, it was not until 1952 that he gained national recognition. Faced with the challenge of stamping out a serious outbreak of foot-and-mouth disease in Saskatchewan, he organized an eradication program that proved highly successful in eliminating the disease and restoring markets for Canada’s livestock and meat products within a period of 12 months.
For his efforts in this regard, he was named Chief Veterinary Officer and three years later (1955), Veterinary Director General. Under his leadership, all veterinary services associated with Agriculture Canada were amalgamated under one head.
During his tenure of office programs designed to control and eradicate tuberculosis and brucellosis were expanded. As a result Canada’s cattle enjoy an enviable health status throughout the world.
Two significant landmarks stand out in any review of his career. Especially noteworthy are the establishment of the Canadian maximum security quarantine system, which makes possible the importation of cattle from countries formerly on the prohibited list, and the founding of a Western College of Veterinary Medicine at the University of Saskatchewan, a project that he pioneered.
Peu d’agriculteurs canadiens ont reçu une telle renommée internationale que le Dr Kenneth F. Wells. Pendant des années, il a représenté ce pays à travers le monde lors des négociations réliées à la santé animale.
Un vétérinaire dans la direction générale de la santé animale durant les années 1940, le Dr Wells a été impliqué dans l’éradication d’une grave épidémie de peste porcine classique, et l’organisation d’un programme national de contrôle de la pullorose. Même si ses efforts dans ces domaines se sont avérées un succès, ce n’est qu’en 1952 qu’il a acquis une reconnaissance nationale. Face au défi de stopper une grave épidémie de fièvre aphteuse en Saskatchewan, il a organisé un programme d’éradication qui s’est avéré très efficace dans l’élimination de la maladie et la restauration des marchés du Canada pour le bétail et les produits de la viande en moins de 12 mois.
Pour ses efforts à cet égard, il a été nommé chef des services vétérinaires et trois ans plus tard (1955), directeur général de la médecine vétérinaire. Sous sa direction, tous les bureaux des services vétérinaires associés à Agriculture Canada ont été fusionnés sous un seul chef.
Au cours de son mandat, les programmes conçus pour contrôler et éradiquer la tuberculose et la brucellose ont été élargis. En conséquence, le bétail du Canada jouit d’un statut sanitaire enviable dans le monde entier.
Deux points de repère importants ressortent de toute sa carrière. Particulièrement remarquable, notons la mise en place du système de quarantaine à sécurité maximale du Canada, qui rend possible l’importation de bovins en provenance de pays autrefois sur la liste des interdits et la fondation Collège de médecine vétérinaire de l’Ouest canadien à l’Université de la Saskatchewan, un projet qu’il a lancé.
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